Tuesday, April 2, 2013

Visites et Activités



Welcome to our Community Diary “Coutumier”. In the pages that follow, you’ll read the principal events that took place at our International Spiritual Year (ISY) between October and December 2013. We express our sincere appreciations to all those who visited us during this period. 

The “Coutumier” was kept by Charles-André Edorh (DFGG, Togo)

October 1, 2012: Arrival and Resumption
SMA students from different countries resumed for the 2012-2013 International Spiritual Year (ISY).  There was Solemn Vespers in honor of Saint Theresa of Child Jesus in the evening.

October 2, 2012: Formal Welcome and Setting the Pace
Formal welcome and general introductory exercises were facilitated by Fr. Basil SOYOYE, Superior of the house. SMA students and members of the Formation Team (MFT) partaking in this year’s ISY briefly introduced each other.
The opening recollection followed in the evening.
 
October 4, 2012:  Sharing Our Stories
This was facilitated by Fr. Basil. The aim of the exercise was to enable us have a deeper knowledge of about each other. Around a lighted candle, the icon of Jesus, a painting of our Founder, the Servant of God, Bishop De Marion Bresillac, we all (MFT and students) shared our family history, our journey so far with the SMA, especially our motivation of joining the SMA.
In the evening of the same day, we celebrated our coming together with a social evening where lots of talents and creativities were displayed.

November 5, 2012. Visitors from Strasbourg
 A couple, Lili and Bobi, (SMA honorary members from Strasbourg-) and Fr. Claude (Strasbourg) visited our Centre Brésillac (CB), Calavi.

November 6, 2012: Visitors from Fraternité Laïque Missionnaire (FLM), Lyon
4 members of the FLM Lyon visited us. They were:  Arnold et Catherine a couple and Theodore. They were accompanied by Cosme, (member of the FLM, Bénin. During a meeting with the students, our visitors introduced the FLM, explaining its origin, aims and objectives. Concerning the origin, they said that the idea of FLM came from some Catholic students France in 1980, who as laity, wanted to live their missionary calling in a practical way in association with the SMA. Hence the spirituality of the FLM as group is based on the missionary spirituality of SMA spirituality. Where it is possible, members of FLM volunteer for mission in Africa in association with the SMA. The group has sent many of its members on mission Ad extra over the years.

November 18-20, 2012:  Visit of Fr. Reginald Nwachukwu, SMA Superior of the District –in- Formation of Bight of Benin (DFBB)
On 20th November, Fr. Reginald met with the students at the ISY at 12h00

December 8, 2012: : Solemnity of the Immaculate Conception and Foundation day of the (SMA)
Mass was offered for the intention of the new mission opened in sierra Leone and the 3 confreres who are working there for the growth of the mission.  Nine priests concelebrated and the main celebrant was Father André CHAUVIN. Members of the Amical were present and some visitors too. After the mass, a small get together was held with friends and the SMA.

December 15, 2012: Christmas Party

A buffet was given by the community in the honor of all the workers in Centre Bresillac; Together we had a meal at 12h30; followed by the introduction of the team of workers, their families. Before the end of the event, each worker received a gift from house and the community superior in the name of all wished them a happy new year. This was followed by the taken of photograph of the students, MFT and the workers and their families.



December 22, 2012: Christmas Holiday
From December 22nd 2012 to 3rd January 2013, students were assigned to different parishes for holiday. The experience is also known as the ”Mini- Stage”. The parishes were in the following places: Cobly, Gouandé, So Tchanchwé, Perere, Nikki, Kalale, Bouka, Bougou, Banikani, Za-Hla and finally Djougou.

December 26-29, 2012: SMA Aspirants' Meeting
Centre Bresillac Calavi, welcomed 30 SMA aspirants from 26 to 29 December 2012. The session was directed by Father Bernadin SMA (Vocations Director) and his assistant Father Dominic SMA (IDF, Perere Parish). Fathers Wilfred and Basil took part at the session by animating conferences. Father Michel L’Hostis, Regional superior SMA Benin-Niger interviewed 10 candidates for their entrance into MISERETE preparatory program in 2013. The closing mass was celebrated by Father Francis BARKANADO, vice superior of DFBB.

Wednesday, February 6, 2013

Récollection SMA février 2013


Marcher dans la foi à travers tout notre vécu

Nous sommes dans l’année de la foi inaugurée par le pape Benoît XVI. C’est sans doute l’occasion pour nous de vivre un renouvellement, un approfondissement au niveau de notre foi pour que notre vie d’enfant de Dieu, de prêtre, de missionnaire soit plus ajustée à l’évangile, et que notre témoignage puisse porter plus de fruits au cœur de notre mission.

Quand Jésus rencontre quelqu’un, il le provoque à un chemin de foi : la samaritaine, Zachée, la pécheresse adultère que les phariesiens veulent lapider….  Et ce chemin de foi les conduit à une conversion, un changement de vie. C’est un tournant dans leur vie grâce à cette rencontre particulière, bouleversante de Jésus qui les touchés au plus profond de leur cœur. Il est toujours nécessaire qu’il y ait cette rencontre personnelle avec Jésus pour qu’il y ait un changement profond dans notre vie.

Ce qui est important pour Jésus, c’est d’abord de nous rencontrer pour se révéler à nous et ouvrir notre cœur à la foi en Lui. C’est aussi le désir du Père : « Le Père a tant aimé le monde qu’Il a envoyé son Fils dans le monde pour que tous ceux qui croient en lui aient la vie éternelle. » Jean 3,16. Et un jour où les pharisiens posaient la question à Jésus : « Que faut-il aire pour faire les œuvres de Dieu ? » Jésus avait répondu : « L’œuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’Il a envoyé. » Jean 6,29

Et toutes ces rencontres invitent à la confiance et provoquent un changement profond dans la vie des personnes rencontrées. Le regard de Jésus posé sur chacun de nous est chemin de guérison et de confiance. Quand on fait cette rencontre, quand on accueille le regard de Jésus, nous pouvons en être bouleversé, et un chemin nouveau s’ouvre pour nous parce que nous avons rencontré et accueilli Jésus notre Seigneur, notre Sauveur, notre Libérateur, et nous nous sommes laissés accueillir par Lui.

Notre foi en Jésus est la première raison de notre engagement dans la mission que nous vivons ici en Afrique. Mais cette foi, pour pouvoir s’exprimer en toute liberté, conduite par l’Esprit, a besoin d’être libérée, purifiée, nourrie pour que notre attachement à Jésus soit de plus en plus solide et que nous en arrivions à une totale confiance, même au cœur des difficultés  que nous rencontrerons sur notre route.
Il m’a semblé important pour nous de repérer quelques liens entre notre foi et notre notre expérience de vie d’enfant de Dieu engagés dans la mission que nous vivons maintenant.


1 - Lien entre foi et pauvreté du coeur.

Je crois que c’est un point essentiel que Jésus souligne dans l’Evangile. C’est la première béatitude.
Quand je travaillais à l’animation missionnaire, entre 1984 et 1988, au cours d’une semaine missionnaire dans une paroisse de Loire Atlantique, nous célébrions la fête de la Toussaint. L’évangile était la proclamation des béatitudes.

J’avais préparé une homélie, tout était écrit, et au cours de l’homélie, j’avais dû m’arrêter, saisi par la première béatitude. Mes papiers étaient tombés par terre, et je ne les avais pas ramassés. J’avais dû m’excuser auprès de l’assemblée qui comptait un bon millier de personnes pour demander quelques minutes de silence pour accueillir ce que je devrais dire et que je ne savais pas encore.

 « Heureux les pauvres, le Royaume de Dieu est à eux. » Cette parole m’avait saisie et je la laissais imprégner mon cœur avant de pouvoir reprendre la parole et continuer l’homélie. Je ne sais plus ce que j’ai dis ensuite, mais j’ai laissé parler mon cœur, et j’ai compris ce jour-là, que je n’avais pas à dire ma parole, faire un discours, mais j’avais à accueillir une parole qui ne m’appartient pas, qui me dépasse et qui me fait vivre. Ce jour-là, j’ai senti que le cœur du pauvre était le terreau qui permettait d’accueillir le Royaume de Dieu et de se mettre vraiment en route avec Jésus, et cela quoiqu’il arrive. Ce jour-là j’ai perçu avec force et douceur que cette première béatitude était la clé d’accueil de l’évangile, de la Parole de Dieu : elle éclaire toute notre vie d’enfant de Dieu. Cette expérience m’avait bouleversé, et elle ne m’a jamais quitté. Jésus nous a dit lui-même qu’Il est doux et humble de cœur. Il nous faut prendre le temps de le contempler dans sa douceur et son humilité. Avec Lui nous deviendrons alors non pas des maîtres, mais des serviteurs doux et humbles de cœur.

2 - Lien entre foi et chemin de libération, accueil de notre pauvreté et expérience de la miséricorde de Dieu : 
blessé, malade, lié dans des comportements, des attitudes de toute puissance, lié par l’argent, blessé dans mon enfance pour de multiples raisons, dans mes relations avec les autres, blessé par des événements douloureux du passé, bloqué par des rancoeurs, des rancunes, des difficultés à pardonner … j’ai besoin de guérison, de libération. Et j’ai à poser un acte de foi : Jésus est mon Sauveur, Il est le Sauveur, le Seigneur de toute ma vie.

Tant de blessures, de blocages … peuvent m’empêcher de vivre pleinement la mission. Nous sommes les premiers à avoir besoin du salut de Jésus Christ que nous proclamons. Il ne faut pas nous situer au dessus des autres. La pauvreté du cœur, l’humilité va nous permettre de vivre ce chemin. Tout chemin de guérison est un chemin de foi, de conversion, de découverte plus grande de la miséricorde de Dieu, et nous fait devenir plus libre, nous libère de la susceptibilité et de tant de blessures, de difficultés à pardonner, à nous accueillir les uns les autres, et nous fait grandir dans l’amour fraternel, dans l’accueil des autres.

Quand on a vécu un chemin de guérison, on ne se laisse plus blesser autant qu’avant par des attaques nouvelles. Quand on est blessé, on est souvent blessant, sans s’en rendre compte la plupart du temps. Mais quand on vit un chemin de guérison, on devient instrument de guérison dans la main de Dieu, on peut mieux manifester la miséricorde de Dieu à travers la vie avec nos frères. Je constate cela à travers beaucoup de personnes qui ont vécu une ou plusieurs  école de prière au cours desquelles, elles ont vécu un chemin de guérison profond.

 Dieu fait tout concourir au bien de ceux qu’Il aime, même nos difficultés, nos blessures, nos souffrances. Et cette expérience nous fait devenir plus humble et fortifie notre foi.

3 - Lien entre foi et pauvreté matérielle : 
Il n’est pas toujours facile de ne pas s’inquiéter du matériel. Il est utile, même nécessaire. Mais si la préoccupation du matériel, la peur de manquer nous préoccupe trop, notre cœur ne serait pas entièrement disponible pour la mission. Jésus, lorsqu’il a envoyé ses disciples en mission leur a demandé de ne pas s’inquiéter, de faire confiance. Faire confiance en la Providence m’a beaucoup aidé dans le service des jeunes de la rue et en difficulté (ex au CEO et aux ateliers, et aussi pour la restauration des bâtiment de Masaga, pour les écoles de prière.)

Mais faire confiance peut aussi être un appel à modifier certaines choses dans notre manière de vivre, notre standing, même s’il n’est pas forcément exagéré. Il est bon de se resituer devant le Seigneur, de nous laisser interpeller par sa Parole pour nous remettre peut-être en cause dans telle ou telle manière de vivre, tout cela pour être plus libre pour la mission, pour être plus proche des pauvres, pour faire confiance au Seigneur qui veille sur nous, et qui sait mieux que nous ce dont nous avons besoin.

4 - Lien entre foi et prière : 
La prière est une démarche de foi, elle ne change pas Dieu, mais elle nous rapproche de Lui par Jésus. Elle nous donne de nous attacher à Lui et de lui faire confiance.

La prière est expression de notre foi, elle nourrit aussi notre foi. Nous savons bien que lorsque la prière est un peu laissée de coté dans notre vie, notre vie n’a plus la même tonicité, elle s’affadit, et le découragement peu facilement s’installer en nous. Notre  vie apostolique risque de s’appauvrir et nous risquons aussi de nous laisser emporter par d’autres préocupations. Jésus lui-même vivait sa mission sans cesse en communion avec son Père. Et il nous invite à faire de même : « Demeurez dans mon amour… Veillez et priez. »      
  
Sans la prière, sans demeurer dans l’Amour du Seigneur, nous ne pourrions vivre la mission qui nous est confiée, ou du moins nous la vivrons d’une manière rétrécie, handicapée, au ralenti. Nous ne pourrons pas porter vraiment des fruits. Et nous ne serons vraiment habité par la joie.

La prière est don de l’Esprit pour une croissance dans la foi, pour une plus grande communion dans l’amour du Seigneur qui nous pousse à aller vers les frères. Peut-être cette année de la foi, nous pourrions réajuster notre vie de prière. Nous en serons les premiers bénéficiaires, puisque, comme nous le dit la 4° préface des temps ordinaire en semaine, la prière ne change pas Dieu, mais elle nous rapproche de Lui par Jésus.

5 - Lien entre foi et vie fraternelle
Oser croire que Dieu est amour me conduit à pouvoir aimer mon frère en me laissant conduire par l’amour de Dieu qui m’habite.  

Le signe le plus essentiel de notre mission est que nous nous aimons les uns les autres. Sans cela aucune communauté, qu’elle soit paroissiale, sacerdotale, familiale, ne pourra porter des fruits. Ce serait un désastre, et hélas cela arrive dans tous les types de communautés. Jésus Lui-même nous a bien dit : « Sans Moi, vous ne pouvez rien faire. » Peut-être nous l’oublions souvent. D’autant plus que chacun de nous est avec ses limites, ses faiblesses, ses blessures et qui peuvent nous handicaper sérieusement tant qu’on ne les a pas reconnues, acceptées, offertes au Seigneur comme des pauvres. Au lieu de devenir humbles et fraternel en nous laissant toucher par l’Esprit d’Amour, nous pouvons entrer dans un chemin de dureté, d’aveuglement, de rejet des autres, voir de haine, et ce serait un chemin de mort, alors que le chemin de la pauvreté est chemin de vie : « Heureux les pauvres, le Royaume de Dieu est à eux » En effet quand un pauvre crie, Dieu écoute, nous dit le ps 34
Cette vie fraternelle, qui se manifeste à travers la vie communautaire est essentielle pour devenir les témoins de l’amour du Seigneur. Notre première mission est d’aimer et de témoigner de cet amour qui npous habite. On appellait les premiers chrétiens en exprimant ce qu’ils vivaient en profondeur : « Voyez comme ils s’aiment. » Même si tout le monde ne vit pas la même mission dans le concret, toutes les formes ou expressions de la mission sont orientées vers le même but : révéler l’amour de Dieu, et cela ne pourra se faire que si nous nous laissons habiter par l’amour de Dieu rendu visible dans l’amour fraternel.

Oser croire que Dieu est amour et que son amour peut transformer, transfigurer notre vie, notre relation avec le Seigneur et avec nos frères, cela peut nous conduire loin dans la mission.

6 - Lien entre foi et mission
Nous sommes envoyés et non propriétaire de la mission. Elle n’est notre œuvre, mais l’œuvre de Celui qui nous envoie, Jésus. Alors les difficultés ne vont pas nous conduire à la désespérance, mais à la confiance : «Rien me peut me séparer de l’amour du Christ….. Je sais en qui j’ai mis ma confiance… » nous dit S Paul.
Aujourd’hui, le visage de la mission a un peu changé par rapport au passé. Bien sûr c’est toujours le même évangile que nous allons proclamer, c’est toujours à la suite de Jésus que nous allons marcher. Mais la manière de rejoindre nos frères, compte tenu de la société d’aujourd’hui, des ses difficultés, de ses blessures, de ses souffrances, peut nous conduire sur des chemins nouveaux.  L’Esprit ne manquera pas de nous ouvrir des chemins nouveaux pour que le message d’amour de Jésus puisse rejoindre le cœur de chacun d’entre nous, traverser nos sociétés humaines, nos cultures, nos familles, notre monde qui perd ses repères en particulier au niveau de la famille, avec toutes les conséquences graves qui retombent sur les enfants qui en sont les premières victimes.

Il  nous faut continuer à vivre notre charisme SMA à travers des chemins nouveaux, en particulier au service des plus pauvres.

Sommes-nous prêts à accueillir, en faisant preuve de créativité pour le service du Royaume, notre mission, selon notre charisme SMA, auprès des plus pauvres, sur des terrains nouveaux, accueillir des situations nouvelles de pauvreté de notre monde d’aujourd’hui. Tout le monde ne vivra pas forcément la même forme de mission, mais si nous nous mettions à l’écoute de l’Esprit, la mission pourrait bien avoir des visages variés, nous pourrions marcher sur des routes nouvelles qui nous redonneraient un dynamisme missionnaire dont l’Eglise a bien besoin en Afrique et ailleurs, sans pour autant renoncer à ce que nous faisons actuellement. L’Esprit est sûrement prêt à nous conduire sur des routes nouvelles. A nous d’accueillir ces nouveautés ! J’espère que dans nos partages, nos réflexions, cela nous habitera et que nous sortirons de cette rencontre, en étant à l’écoute d'appels nouveaux, nous accueillerons des projets nouveaux qui permettront aux membres de la SMA de se sentir heureux dans leur vocation, dans le charisme SMA vécu concrètement aujourd’hui. L’Esprit nous conduira sur des routes nouvelles.

Je vois, par exemple l’accueil que vivent un nombre important d’accompagnateurs, au service des écoles de prières, ou d’autres formes de service. Ce sont des engagements nouveaux. L’année dernière j’ai accueilli 24 frères et sœurs pour ce service au cours des écoles de prière de l’année dernière pour accueillir à Masaga et à Zagnanado environ 180 personnes pour une durée de 10 jours. Ce temps pris sur leur congé a été offert pour le Royaume de Dieu.

7 - Lien entre Foi et joie :
 nous sommes appelés à être des témoins joyeux parce que nous sommes habités par l’amour de Dieu. St François d’Assise interdisait à ses frères d’aller prêcher la Bonne Nouvelle quand ils avaient le visage triste, parce qu’on ne peut pas porter la joie en étant habité par la tristesse. C’est vrai que nous pouvons connaître des moments difficiles, des moments de tristesse, mais notre foi en Jésus qui nous donne sa joie et sa paix nous libérera de la tristesse. Jésus nous a bien dit qu’il est venu pour que nous ayons la paix et la joie en abondance.

Des choix à faire
Dans notre vie personnelle, mieux accueillir le visage de Dieu que Jésus nous révèle. Cela suppose un approfondissement dans notre prière, dans l’accueil de la parole de Dieu. Nous resituer dans l’écoute de la parole de Dieu plutôt que dans le savoir que nous croyons posséder.
Dans notre vie sacerdotale, mieux ajuster nos choix  de vie à ce que Dieu attend de nous. Peut-être avons-nous besoin de redécouvrir la pauvreté évangélique pour être plus disponible à la mission qui nous est confiée.

Mieux faire nos choix pour mener une vie plus équilibrée en donnant  à chaque chose importante sa place : la prière, l’étude, la vie apostolique, la détente, la vie fraternelle, les repas partagés fraternellement  … Au Sacré Cœur autrefois, quand nous étions une équipe SMA, j’ai entendu plusieurs fois des paroissiens me dire : « On voit bien que vous vous aimez ». Est-ce que ce n’est pas la première exigence pour vivre la mission et qu’elle puisse porter des fruits? Bien sûr, la vie fraternelle n’est pas toujours facile. Nous avons nos qualités et nos défauts, nos différences. Mais est-ce que nous croyons que la vie fraternelle est la première condition de toute évangélisation ? Est-ce que nous ne pourrions pas faire un effort dans ce sens. Ce serait pour le Royaume de Dieu, mais aussi pour notre bien et notre joie.

En cette année de la foi, que le Seigneur nous visite pour nous nous faire grandir dans la foi, dans la joie, dans la paix et dans l’amour, pour que nous puissions être des témoins de Jésus auprès de nos frères vers qui nous sommes envoyés. Et que dans cette mission qui nous est confiée notre joie soit parfaite, débordante.

Claude TEMPLE , sma

Programme de l’Assemblée Régionale Bénin-Niger 2013




Mardi 5 au soir : Rassemblement
19h : Vêpres
19h30 : Repas
20h15 : Rencontre de présentation animée par P. Michel L’Hostis, régional

Confrères en session
Mercredi 6 février 2013

7h30 : Petit Déjeuner
9h00 : Récollection animée par Claude Templé
11h30 : Eucharistie. Président : Claude Templé
12h30 : Repas

15h30 : Office du Milieu du Jour
15h45 à 18h30 : Travail avec James Shimbala
18h45 : Triduum et Vêpres




Jeudi 7 fevrier 2013
7h00 : Laudes et Eucharistie
8h00 : Petit Déjeuner
9h00 à 12h00 : Suite du Travail avec James Shimbala
12h30 : Repas

15h30 : Office du Milieu du Jour
15h45 à 18h30 : Questions propres à la Région
18h45 : Triduum et Vêpres

Soirée récréative animée par les jeunes du Centre Brésillac


Vendredi 8 : Accueil du Supérieur Général

7h00 : Laudes et Eucharistie
8h30 : Rassemblement
9h30 à 11h30 : Rencontre avec le Supérieur Général
12h00 : Apéritif et Repas

Après -midi : Programme libre


Tuesday, February 5, 2013

Mi kuabo


La communauté du l’Année Spirituelle Internationale, (ASI) « Centre Brésillac » est heureux d’accueillir les confrères pour l’Assemblée Régionale Bénin-Niger 2013. La réunion aura lieu du mardi 05 février 2013 au vendredi 08 février 2013 midi. 

C’est la première que le Centre Brésillac accueille les confrères de la région pour une telle rencontre SMA.  

Nous souhaitons tous les SMA présents un agréable séjour chez nous et que la rencontre portera beaucoup de bons fruits pour la mission SMA dans la région et pour l’épanouissement de tous les missionnaires SMA de notre région. Mi kuabo !!!